Lors de notre dernier séjour, nous avions fait le choix de privilégier la clôture au détriment du puits lors de la création du jardin dans un soucis de priorité par rapport au budget disponible.

En effet, si l’approvisionnement en eau est cruciale pour la culture maraichère la présence d’animaux en divagation permanente comme les chèvres ou les cochons, entrainerait à coup sur la destruction de toute plantation dans le jardin.

Et comme nous avions une solution alternative avec l’achat d’un âne pour l’acheminement de l’eau depuis la pompe se trouvant à plusieurs centaine de mètres du jardin, il était donc plus pertinent d’investir sur la clôture.Jardin-cloture-1Au jardin-04

Malheureusement, nous ne pouvons maitriser tous les aléas de la vie et la rudesse du climat, notamment durant la saison des pluies. L’âne que nous avions offert a été sévèrement infecté par des parasites intestinaux et a fini par perdre la vie.

Devant l’impossibilité d’acheminer 2 fois par jour, à la force des bras, 500 à 1000 litres d’eau pour couvrir les besoins du jardin en saison sèche; le jardin a donc du se mettre en stand-by.

Pour éviter un abandon sur le long terme de l’activité, nous avons donc décider de construire un puits au plus vite et grâce à une collecte de donc suffisante, les travaux ont pu commencer au mois de mai 2017.

Le jardin n’aura donc connu qu’une saison d’interruption.

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Fort d’un budget suffisant nous avons également entamé la consolidation de la clôture en vue de sa réfection complète à travers la construction d’une base en parpaing et le remplacement des poteau en bois, friable dans le temps (attaques de termites ) par des poteaux en métal.

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